Premières dépêches d'agence

Premières dépêches d'agence.

Intéressants témoignages, qui peuvent apparaître comme les faits "bruts" (sauf déjà Reuters...), avant le brouillage médiatique des analyses.
(traduction à partir de yahoo.italie)
Les premières photos témoignent bien de la chaleur de l'accueil:

Photos Papacy and the Vatican on Yahoo


(AGI)
Une grande nation, plurielle et diverse. C'est ainsi que le Roi Juan Carlos a présenté l'Espagne d'aujourd'hui à Benoît XVI. "Pour nous", a-t'il ajouté, "la famille est le noyau essentiel de la vie, des transmissions des valeurs, et de la formation de l'être humain. "
Et "lors de ces journées, Valence est devenuse la capitale mondiale des familles chrétiennes". Dans l'intention du souverain espagnol, ces paroles étaient destinées à dédramatiser le climat de la visite du Pape. Mais peu avant l'atterrissage de l'avion du Pontife, le premier ministre a été copieusement sifflé par la foule venue acclamer Ratzingzer.


(AGI)
"Aujourd'hui aussi, dans le contexte de la culture moderne, avec tous les problèmes que nous avons, je veux dire qu'il est possible de croire en Jésus Christ, la lumière qui nous oriente encore aujourd'hui". C'est ce qu'a dit le pape aux journalistes qui l'accompagnent à Valence, soulignant que même dans une réalité "sécularisée", le message du Christ aide à vivre.
Simultanément, la pensée de Joseph Ratzinger est allée aussi vers son prochain déplacement, qui aura lieu en septembre, en Bavière. "Au voyage en Bavière", a en fait révélé le souverain Pontife, "je me prépare de deux façons: d'un côté, je prépare les textes et les discours, et de l'autre, je prépare mon coeur, qui naturellement sera toujours ouvert pour l'Allemagne".


(Reuters)
Le Pape Benoît XVI a commencé sa visite-éclair à Valence, en Espagne, le pays où, depuis un an le mariage entre homosexuels est devenu légal, et il a dit qu'il y a de fait des choses auxquelles l'Eglise doit dire 'non'.
Le Pape, 79 ans, est arrivée dans la ville côtière pour conclure la rencontre internationale des familles catholiques, et apporter ses condoléances aux habitants de Valence encore en deuil après l'incident dans le métro de lundi, qui a tué 42 personnes.
Des journalistes présents à l'aéoroport au moment du départ ont demandé au Pape si l'Eglise opposera des obstacles au mariage gay, ou autres changements dans la société.
Benoît XVI a dit vouloir souligner les aspects positifs de la vie de famille en Espagne et il a ajouté que, malgré tout, il y avait des problèmes que l'on ne pouvait ignorer.
"Nous avons des familles qui vivent dans l'amour, qui sont heureuses, et nous voulons souligner leur réalité, qui nous donne de l'espoir pour l'avenir", a dit le Pontife. "Il est vrai qu'il y a quelques questions auxquelles la vie chrétienne dit 'non'". Nous voulons faire comprendre aux gens que, selon la nature humaine, un homme et une femme sont faits l'un pour l'autre, et pour donner ainsi un futur à l'humanité", a-t'il ajouté.
La loi espagnole donne les mêmes droits aux couples hétérosexuels mariés et ausx couples gays, y compris l'adoption et l'héritage. Depuis que la loi est rentrée en vigueur, l'année dernière, 4500 couples gays se sont mariés, d'après la FELGT (organisation espagnole des gays, lesbiennes et transsexuels)
A l'aéroport, le Pape a été accueilli par le roi Juan Carlos, la reine Sophie, et des milliers de pélerins, qui chantaient et agitaient des banderoles, et il a dit que "la famille fondée sur le mariage est une institution unique dans le plan divin".
Une source interne au Vatican et présente à l'aéroport a dit qu'"il y a une certaine irritation", dans l'entourage du Pape, pour la décision de Zapatero de ne pas participer à la messe pontificale qui conclura le voyage en présence de plus d'un million de pélerins".
Une rencontre privée avec le Pontife est prévue à 16h30.
La source a fait remarquer que, dans le passé, que ce soit le leader communiste de Cuba Fidel Castro, le sandiniste Daniel Ortega, ou l'ex président polonais Jaruzelski, tous avaient pris part à la messe célébré par feu Jean-Paul II quand il était venu en visite dans leur pays.
Philip Pullella



(Adnkronos)

Une grande foule festive a accueilli Benoît XVI à sa sortie de la basilique de Valence où le Pape avait rencontré les familles des victimes de l'accident dans le métro de Valence. Place de la Vierge, le Pontife a récité l'Angelus, et a prononcé un bref discours; une longue ovation a salué l'apparition du Pontife. "Arrivant à Valence", a affirmé Benoît XVI, "j'ai voulu en premier visiter le lieu qui représente le centre de cette antique et florissante Eglise particulière qui me reçoit: sa belle cathédrale, où j'ai prié devant le Très Saint Sacrement, et où je me suis arrêté devant la célèbre relique du Saint-Calice.


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