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MÉCHANTE...
 

Commentaire d'une amie:
"Quelle arrogance, mépris, haine dans ce regard... et cette bouche"
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Hier, la harpie militante a définitivement jeté le masque.... Elle a constamment joué sur sa féminité, au cours de cette campagne, et même lors du débat, comptant sur le reste de bonne éducation qui subsiste chez les hommes d'une certaine génération, et qui s'appelle la galanterie, mais hier, il ne restait plus rien de féminin dans son attitude, sinon une caricature méprisable et terrifiante.
Elle incarnait en effet jusqu'à la caricature cette hérésie du féminisme qui nie à la féminité "les rôles inscrits dans sa nature biologique même, [..] sa merveilleuse capacité de donner amour, aide, soulagement, chaleur, solidarité" (voir ici les propos du cardinal Ratzinger: "Le théologien")


 
 

Lu aujourd'hui sur le site de Présent, sous la plume de Jean Cochet, et sous le titre "Le débat dont la France ne sort pas vainqueur: fausse colère et vraie méchanceté":
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[..] quand le douloureux problème de la scolarisation des enfants handicapés lui a enfin permis de placer son numéro de fureur vengeresse, la furie faussement outragée s’est déchaînée, acculant son adversaire tétanisé dans les cordes, sous une grêle de phrases coups de poing.
...
Du grand art. Une vraie fausse colère, certes, mais tendue par une méchanceté qui, elle, n’a rien de factice. Une « mygale » qui paralyse ses proies avant de les dévorer. François Mitterrand, son Pygmalion, la jugeait d’ailleurs, il y a vingt ans de cela, «volontaire, allante, avec de l’énergie et de la méchanceté » (selon Marc Lambron, auteur du livre "Mignonne allons voir si la rose" - commentaire personnel: voir associé le premier vers du poème de Ronsard qui a en quelque sorte bercé mon enfance, à cette 'tricoteuse', me fait un peu l'effet d'une profanation)
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De son côté, Patrice de Plunkett que je trouve pour ma part bien indulgent (car elle ne venait nullement de marquer un point, se contentant de faire la seule chose qu'elle sait faire: mentir avec aplomb) note dans son blog:
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"[..] un cobra en posture d’attaque (« Ségolène a crevé l’écran », dit la presse). On s’y attendait… Il y eut un moment révélateur, d’une violence nerveuse jamais vue lors d’un débat présidentiel : Ségolène débordée par elle-même, transformant la controverse en crise de rage et gâchant ainsi un point qu’elle venait de marquer".


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