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QUE FAUT-IL ADMIRER CHEZ BENOÎT XVI?
 



Une douceur pénétrante et féconde

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Loin de ces fébrilités stériles [qui agitent la scène politique en France], (ndr: mais cela pourrait être une autre fébrilité stérile, directement en rapport avec le Saint-Père, celle-là ) le Chef vivant de la plus ancienne et vraiment vénérable institution que l’univers ait connue poursuit, avec une douceur pénétrante et féconde, son pèlerinage de prières et de bénédictions sur la plus ancienne terre chrétienne, depuis si longtemps dévastée.
On ne sait ce qu’il faut le plus admirer, chez Benoît XVI, du courage, de la tranquillité, de l’audace ou de la prudence, sans oublier cette charité qui adoucit la lumière de l’intelligence.
Ne choisissons pas !
Prenons tout ! Et rendons grâces à Dieu pour ce signe des temps, leçon d’espérance invincible.
JACQUES TRÉMOLET DE VILLERS, 6 décembre


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