Audience générale du 26 avril 2006

Voir aussi un diaporama video de l'audience, avec, en fond sonore, la voix du Saint-Père commentant lui-même sa cathéchèse en français.

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L E   F I L M   D E   L ' A U D I E N C E 

Lundi, 18h: j'ai enfin pu obtenir les billets pour l'audience, à la Préfecture de la Maison Pontificale, au-delà du portail de bronze (pour quelqu'un qui n'est pas très à l'aise pour s'exprimer en italien, ce n'est pas évident...). Un garde suisse a été me les chercher, et je suis folle de joie... Je dois cependant dire que ces billets ne servent à rien, car personne ne me les a demandés pour accéder à l'espace réservé pour les audiences, Place Saint-Pierre.  
Mercredi 26, 9h30, parvis de la Place St-Pierre:

Attente sous la pluie  
10h25:
La pluie vient de cesser, l'attente prend fin (nous sommes arrivées à 7h30!).
Le commandant de la Garde Suisse vient s'assurer que tout est en ordre.  
10h30

IL arrive, précédé par le grondement de la foule... avant même qu'on aperçoive la "papamobile"  
La cathéchèse [11 458 KB] a commencé...
Georg Gänswein, trés prévenant, très concentré, lui passe ses feuilles et ses lunettes (il prend tout le temps des notes, ce qui m'incite à penser qu'il répertorie les improvisations du Saint-Père, et les changements par rapport au texte prévu).  
Les bavarois en costume traditionnel lui font la fête, et il semble particulièrement les apprécier. Il les salue en agitant ses doigts de pianiste, en un geste inimitable. 
Il reçoit l'hommage des évêques...
 
... venus accompagner les groupes de pélerin  
Il caresse et bénit les handicapés (il va même embrasser une jeune aveugle) 
De son inimitable et gracieuse démarche, il se lève, et va saluer les groupes placés à proximité du trône papal, en particulier les délégations officielles, particulièrement nombreuse ce jour-là...  
Il est presque 13 heures lorsqu'il quitte la Place Saint-Pierre, tout souriant et gentil... 
...laissant sur leur faim les innombrables pélerins grimpés sur leurs chaises et qui scandent son nom, en espérant que la papamobile va passer près d'eux 
Pour rester dans l'ambiance, nous terminons la matinée à la "Cantina Tirolese", autrefois fréquentée par le Cardinal Ratzinger, et nous y mangeons de bon appétit une choucroute bien peu romaine, délicieuse, mais malheureusement tiède, et une excellente "sacher torte", parmi des groupes de pélerins français.  
Une dame venue de Toulouse me confie qu'elle était au départ réservée vis-à-vis de "ce pape", étant une grande admiratrice de Jean-Paul II...  ... mais que la rencontre de ce matin avait balayé ses réticences, et qu'elle avait été très touchée par Benoît. J'en ressens un grand plaisir...  


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