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SÉGOLÈNE ROYAL |
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Le choix par les militants socialistes de Ségolène Royal comme candidate aux prochaines élections présidentielles n'a sans doute rien à faire dans ces pages consacrées à celui qui incarne pour moi la plus belle figure d'humanité qui soit au monde, et j'ai peur que cette proximité de circonstance n'apparaisse comme une salissure. Encore que... Il s'agit d'un choix de société, et le Saint-Père demande aux Catholiques de s'engager. Or, nul doute que si la Royal devenait "chef" de l'Etat, elle ferait la seule chose qu'elle sait faire, qu'elle peut encore faire: démolir ce qui subsiste de moralement sain dans notre société - puisque sur le reste, elle n'a évidemment aucune marge de manoeuvre, et en plus, aucune compétence. Donc, à l'adresse de ceux persistent à croire (des gens distraits, sans doute) que SR défend la famille, voilà une image qui la résume toute entière:
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Voir mini-video [1 134 KB]
ici (publicité sur le site de Têtu de Juillet)
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Un vide abyssal dans le discours. Des idées qui évoquent la "boîte à suggestions" que le directeur d'une colonnie de vacances joué par Claude Piéplu dans le film -je crois- "La meilleure façon de marcher" avait mis à la disposition des enfants, et que des plaisantins bourraient d'insanités et d'obscénités. Des propos qui, réécoutés hors contexte, n'ont aucun sens. Un pur produit de marketing, en somme.
Je reprends ici, en rectifiant, ce que j'avais écrit à propos du métier de journaliste (qui se féminise, donc se paupérise). Ici, il ne s'agit pas à priori de paupérisation. Mais la fonction la plus haute -ou plutôt la mission- perd le peu de prestige qui lui restait. Les medias ont beau titrer "Le sacre de Ségolène", il n'y a plus rien de sacré dans cette vulgaire campagne de publicité. Rien que de l'ambition à assouvir, des mensonges, et de l'impuissance.
Dans le Libre Journal du 7 octobre dernier (n°388), Serge de Beketch est peut-être excessif -ou lucide. Je ne suis pas sûre de souhaiter que sa conclusion se révèle prophétique. Elle fait peur. Voir ici: La Royal contre la république ------------------- "Son accession à la Présidence de la République serait probablement le seul événement de nature à provoquer la vraie rupture qu'espèrent les forces vives et non corrompues de la nation. Ce serait un bouleversement forcément bénéfique des institutions. Non en raison des qualités de Madame R. bien sûr. Mais en raison du séisme politique qu'elle ne manquerait pas de provoquer à court terme. ... Allons! Considérons cette femme. Tentons de l'imaginer dans le fauteuil présidentiel. Peut-on concevoir une illustration plus parlante de l'idée [..] qu'il existe un article non écrit de la Constitution de la République qui veut que chaque nouveau président fasse regretter son prédécesseur ?
Je ne vois personne pour incarner aussi parfaitement qu'elle la nullité couillonne, la gogoterie bobo, la pipolisation bécassonne, l'inversion vindicative, la mollesse femelle, la cochonnerie morale barbouillée en valeurs citoyennes de notre époque. Imaginons-la juchée au sommet de l'État. Dans les cénacles internationaux, elle fait, de sa voix criarde, pleuvoir des vérités premières avec ce vocabulaire poissard qui lui faisait récemment résumer son programme en trois mots : « un bon deal ». .... Dans les discours, elle exhale ses idées rancies de petite-bourgeoise rouge en rébellion trépignante contre un milieu familial qu'elle hait parce qu'il est l'incarnation même de la France traditionnelle..... ............. Qui peut deviner où irait la France, dans une crise internationale, si elle devait être guidée par cette girouette ? Croit-on que, présidente, elle serait capable de faire face à la guérilla raciale qu'annoncent les attaques de policiers et les émeutes à présent quotidiennes dans les territoires occupés ? Jurerait-on que sa main ne tremblera pas face à la faillite qui menace notre pays ; face à l'invasion prophétisée par "Le Camp des saints" qui submerge l'Espagne et dont le flux touche nos frontières ; face à la fronde permanente des fonctionnaires actionnés par la subversion syndicale et assurés de l'impunité ; face à l'écoeurement de moins en moins silencieux des Français devant la pourriture de l'énarchie ; face à l'inflation de la misère ? A l'évidence, son règne ne durera pas trois mois avant de précipiter le pays dans le chaos." ----------------------
Pour mémoire, voir ici: "J'aime pas les riches", un blog satirique sur François Hollande, Marie-Ségolène Royal, le Parti socialiste et la gauche caviar en général. Vous y saurez tout sur la SCI créé avec François Hollande en 1990 , avec 914.694,01 euros de capital au 28 avenue Duquesne dans le 7ème arrondissement...
Voir aussi sur ce site: Qui est derrière Ségolène Royal?
Et l'éditorial assez réjouissant, mais finalement trop indulgent à mon gré, de François d'Orcival, dans Valeurs Actuelles paru aujourd'hui (cité par Le Salon Beige): ------------------------------
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Qui va garder les enfants ? C’est à peu près la seule remarque ironique que se soient autorisée ses concurrents. Ségolène Royal est aussitôt montée sur ses grands chevaux : honte au “machisme” ! Comme si elle ne jouait pas elle-même sur tous les registres de la féminité : son physique, son sourire, son maquillage, sa coiffure, sa prononciation, sa façon de s’habiller… ..... la suite ici: Ségolène Royal vue par François d'Orcival
Le remarquable dessin de Chard a été recadré, car je le devine plus que je ne le comprends, mais il est déjà parfaitement explicite pour moi ainsi.
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